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Petit saut, et nous voici à l'abris des hybrides,
jolie descente, belles vues...
Il ne manque que le ciel bleu...
Mais nous sommes heureux...
Dernière descente un peu aquatique,
retrouvailles joyeuses du Lumix adepte de la plongée,
Nous sommes émus!
Emus de l'avoir fait,
mais un peu triste que ce soit fini
Etzlibach, c'était une réelle aventure...
Et le premier défi d'une série qui devrait encore nous prendre quelques heures!
Nous tirons un rappel pour arriver directement au terminus de mars,
on a décidé de ne pas perdre de temps, de garder nos calories!
Hop, petite vire, hop relais, hop descente!
La cascade est magnifique!
Une vraie queue de cheval, de licorne plutôt...
De la glace résiduelle pend de-ci de-là, blanche et archi-transformée, presque de la neige...
Je descend hors de l'eau, mais les gros glaçons tombés devant nous dans la vasque précédente ne me disent pas que c'est une erreur!
Depuis haut, de gros glaçons pourraient être charriés par l'eau et je préfère rester à l'écart!
Quelle superbe descente...
23 mars.
Quelques jours ont passé,
et les motivations reprennent!
Nous sommes vendredi? Qu'à cela ne tienne! On pose congé et direction la Maderanertal...
Une fois sur place, c'est la déception... Le soleil est pourtant là, le ciel est bleu, la température plutôt froide et le débit correct.
Mais de la glace menaçante effraye certains, ce ne sera pas pour cette fois... grands regrets...
Dimanche 7 avril...
Ciel gris...
Temps froid pour se changer...
Débit correct,
La glace?
Pas cool...
Alors? On l'oublie!
(la glace)...
Nous voici enfin en haut de la grande cascade!
Mais le matériel ne suit pas...
En moins de 15 minutes, tout a gelé!
Les mousquetons ne veulent plus s'ouvrir, le matériel de secours devient inaccessible, les bloqueurs pris dans une coquille de glace!
Nous avons atteint là les limites du canyon hivernal!
Après notre séance d'ouverture du 27 janvier et qui fut une magnifique aventure,
nous décidons de nous frotter à nouveau au glacial cours d'eau.
En compagnie d'un journaliste, d'un photographe et d'un guide Haute-montagne,
la journée avait pourtant bien commencé...
Le premier rappel, d'une dizaine de mètres peut-être franchi... d'un bond!
Canyon d'Etzlibach, Suisse.
Dimanche 7 avril...
Avec Gérald, Timo et Olivier.
Mais commençons par le commencement ou plutôt, les différents échecs!
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Ensuite, bonne petite balade sous terre. Lorsque nous sommes ressortis ça sentait bon les grillades à la salle du repas, bon, nous n'avions toujours pas de verre, mais tant pis, un petit coup de rouge et c'est parti, il était à bonne température. On aurait presque dégusté une côte de Boeuf avec ! On remonte, Martin déséquipe sans soucis.
Sur la route du retour nous sommes passés comme à nos habitudes aux fromageries du Lomont et sommes rentrés avec quelques kilos de comté chacun. Pour arriver à Marlenheim seulement pour 20h, avec Paul qui faisait les 100 pas devant la maison !
Une bonne journée spéléo quoi, même si on a pas fait de désob ! Mais je pense aux nouveaux et nouvelles et particulièrement à Natacha, ce n'est pas un trou pour toi, tu n'auras pas l'immense plaisir d'avoir à décroller et comme dirait Jean-Mi, c'est trop trop nul !
Nous allons jusqu'à la cathédrale ou nous installons la table, le barbecue, mais quelqu'un a oublié les verres, donc nous n'avons pas pu boire un petit coup de rouge tant pis, pourtant nous avions de la bonne viande, du fromage.
Dimanche 17 mars
Barbecue à la Malatière
Avec Robin, Laurent, Romain, Jean-Pierre et Charles
Notre objectif du jour était d'aller faire un peu de désob au milieu de la forêt du coté de Lannans. Nous aurions peut être croisé nos amis du Doubs qui travaillent au Beuillet (Moulood et Pierrot). mais la météo en a voulu autrement.
Nous avions rendez-vous tôt sur l'aire du Hau- koenigsbourg (7.15) pour ne pas rentrer tard comme nous avions Martin parmi nous. Nous avons déjà perdu un temps précieux le matin car Martin est arrivé à Marlenheim seulement pour 7.15, soit une petite demi-heure de retard.
Nous passons prendre sur la route Laurent et nous retrouvons Jp et Robin en train de nous attendre à boire café sur café (bien sur les deux seuls qui n'ont pas de téléphone portable).
Un autre moment plus tard, nous avons réussi à charger les 15 sacs de Martin, les 3 caisses de Jp, les quelques affaires de Robin, et on décharge mes affaires inutiles (ré-hausseur, peluche, .. ) pour faire de la place au vanity de Laurent.
Sur la route, tout ce passe pour le mieux à part la météo assez humide, trop humide pour me voir la journée dans la forêt; Réunion au sommet aux alentours de Belfort, on choisi l'option d'aller sous terre, mais nous n'avons qu'une petite corde et 5 amarrages. Donc, après de longues minutes de réflexion sur la bande d'arrêt d'urgence au km 224, nous choisissons de faire appel à un ami. Jp, notre secrétaire adjoint, s'y colle "Allo Olivier, je suis avec Jean Pierre Foucault, non je déconne, Charles, Robin, Laurent et Martin on voulait savoir si on pouvait te rejoindre à Bournois, ...) Donc nous voila reparti pour l'Isle-sur-le-Doubs et la Malatière.
On arrive pile poil à l'ouverture et y'a déjà beaucoup de monde! Un groupe d'une dizaine de personnes du 68, une bonne autre dizaine d'Allemands, et nous. Nous partons sous terre avec nos grillades...
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A quand le prochain???
Un brin ambitieux,
faisons un tours près de la rivière.
En contemplation devant cette glace,
Emerveillés par cette ambiance,
Surpris par cette chaleur!
Comme on se fait vieux, on préfère glisser à la descente,
monter en télésiège,
boire au comptoir,
manger en terrasse!
Flims V
Les givrés aux sports d'hiver...
5 fous surfant sur les innovations du XXI ème siècle...
5 fous se donnant rendez-vous pour un séance de thérapie de groupe, mêlant sport de glisse, sport de piste et bonnes bières...
Timo, Berni, Valentin, Michel, Olivier n'ont pas résisté à l'ordonnance!
Dimanche 3 mars 2013, quelque part en Suisse.
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11 heures, tout le monde est enfin dehors, le soleil brille, et il y a 2 heures maintenant, la température était de -22°!
Après le "Bain Turc", les pieds sont maintenant durs comme de la pierre, horrible, un vrai supplice.
Gérald et Martin, bien courageux, retournent à l'entrée pour retirer la corde du premier puits.
Il me faut bien 1 heure pour retrouver des sensations dans mes orteils, et pouvoir reprendre la route, heureusement que j'ai des chaussures faites pour -40°!
Sincères félicitations à tous, ceux qui ont joué les éclaireurs, ceux qui sont restés stoïques face aux incertitudes, ceux qui ont si peu dormi durant ce long week-end, ceux qui nous ont aidé pour trouver l'entrée, que ce soit sur le papier ou sur le terrain, et puis, et bien, à bientôt pour de nouvelles aventures, qui je le souhaite, seront moins froides!
L'itinéraire n'est pas bien compliqué, puisqu'il est régulièrement balisé, parfois de grosses flèches vertes, parfois de flèches noires (acéto), souvent par de la rubalise, et de temps à autre par un message.
L'ennui, c'est que la description ne colle pas souvent avec le paysage, et la topo en notre possession, sommaire, n'est pas du tout à la bonne échelle.
Les heures passent et l'énergie trépasse...
Les différentes rivières sont très belles, celle de la Cavale exceptionnelle...
Même si nous redoutions le "Bain Turc", nous l'attendons avec une réelle impatience. Il faut dire qu'il est déjà 8 heures du matin...
Les photos se font plus rares...
La zone des puits est rapidement descendue,
et un peu moins de 2 heures plus bas, nous voici devant la rivière de la Rétiède.
C'est à partir de là que les choses vont un peu se corser!
Pendant ce temps, Martin, Yvan, Michel et Dom partent à la recherche de l'entrée... Il est 16 heures...
De notre côté, nous rencontrons sous terre une petite équipe du SCVJ, dont Arnaud et Amandine, la célèbre Amandine...
Le temps passe, la nuit est tombée déjà depuis quelques heures, mais le trou se cache!
Heureusement, les petits Suisses sont là et museau dans la neige, Amandine nous emmène devant le Garde!
Il est 20 heures quand nous commençons notre descente!
Traversée Garde / Cavale, en Savoie.
Samedi 9 et dimanche 10 février, nous sommes au nombre de 6 pour nous promener, tranquillement au coeur de la Savoie...
Avec Gérald, Martin, Michel, Yvan, Dom et Olivier.
Après le temps de la route, le temps du refuge, voici venu le temps de se diriger vers le creux de la Cavale!
Raquettes aux pieds pour certains, nous trouvons rapidement la sortie que Gérald et Olivier partent équiper...
Paysage de neige et de glace...
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Un fois le cours de la rivière rejoint,
il faut jongler entre des berges englacées, des falaises enneigées, et un ruisseau tumultueux.
Comme à son habitude, le perfo ronronne, bruit parasite de cette étrange atmosphère...
Tout commence par une jolie marche d'approche, à la recherche de traces de chamois! La neige est parfois profonde et la combi serre les mollet à chaque pas...
Canyon d'Erzlibach, Suisse.
Dimanche 27 janvier 2013, ouverture glaciale et de toute beauté...
Avec Gérald, Timo et Olivier.
Ce parcours d'une extrème beauté, mais de conditions la aussi extrème ouvre une nouvelle voie vers le canyoning hivernal!
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Et nous l'avons retrouvé!
Le parcours quant-à lui, est de toute beauté.
De très beaux sauts, parfois de plus de 10 mètres, et la descente de la grande cascade, du grand spectacle!
Canyon de Reichenbach, près de Meiringen, Suisse.
Dimanche 25 novembre, ouverture d'un grand canyon...
Avec Valentin, Gérald, Florian, Timo et Olivier.
Ce dimanche, nous faisons un voyage historique et délirant au coeur même des chutes de Reichenbach, sur les traces de Sherlock Holmes...
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à gauche, le bas du saut de 12 mètres, dans une eau turquoise...
à droite, le "lac" de réception d'un saut de 7 mètres à l'intérieur de "la grotte".
Malgré un grand chaos intermédiaire, c'est un parcours d'une surprenante beauté!
Certes il y a des cascades, un peu comme dans tout les canyons,
mais surtout, il y a plein de passages souterrains, et quelques sauts.
Un canyon avec un bon débit, de l'ordre de 300 litres par seconde, mais ce n'est pas dangereux avec cette quantité d'eau
Uniquement faisable fin automne, ou l'hiver...
Canyon de Taubach, près d'Erstfeld, Suisse.
Samedi 24 novembre, l'ouverture d'un canyon...
Avec Marc, Gérald, Florian, Timo et Olivier.
Ce samedi, c'est une toute autre descente que nous avions prévu, mais un "imprévu" et nous avons reporté notre choix sur un parcours repéré il y a 2 ans maintenant.
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On peut dire que Martin est sur tout les fronts, secondé par Laurent et Valentin assis dans un fauteuil, pendant que Paul et moi partons ramasser des champignons et des châtaignes. Il est presque midi mais l'équipe ne veux pas venir manger chez moi, bien tranquille sur la terrasse au soleil, "motif invoqué" on perdrait trop de temps!
On casse la croute vite fait bien fait, merci Paul !
et c'est reparti! Le chantier avance bien, la galerie est de nouveau accessible. Les courageux partent en expé. ils butent sur un autre effondrement, après 25 m.
Ensuite, nous nous attaquons au boisage extérieur qui est d'un très belle effet, mais bien sûr, les puristes verront là des anomalies de conception avec le moyenne age...
Le chantier ce termine vers 17h chez les voisins très sympas, qui nous offrent à boire et nous félicitent!
les participants repartent et je monte vite voir le responsable qui vient contempler notre travail, ce qui l'a laissé pantois. Il est très content de notre boulot, et ne pensait pas que nous aurions déjà fini. Merci encore à tous! En retour nous avons une possibilité de faire une expo photos pour faire reconnaitre le club...
Mine de Lalay, en Alsace.
Dimanche 21 octobre, sortie prévue avec la commune en vue du Noël 2012...
Avec Jean-Pierre, Laurent, Valentin, Paul et Martin.
Tout le monde était présent à 9h30 devant l'entrée, dont le responsable technique de l'événement "Noël à Lalaye". il nous explique leurs souhaits. Nous nous mettons rapidement au boulot avec le débroussaillage, puis la sortie des gravats, et pour finir, l'étayage du linteau.
Traversée des ANCIENS.
Samedi 20 octobre, sortie initialement prévue aux Windgallen annulée...
Changement de direction...
6 heures du mat, 6 heures de route...
Direction Vercors sud...
Grotte de Brudour rapidement trouvée, premier puits équipé...
Beau temps, entrée des Anciens sans détour dénichée...
Gérald, Florian, Olivier, à 13 heures se sont engouffrés.
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La sortie approche, les photos se font rares...
Passage clé, petite trémie...
Court ramping, riches concrétions...
Un puits, une corde...
1 heure du mat...
Nous sommes dehors.
Les seuls imprévus, une description totalement erronée, le gouffre ayant totalement été ré-équipé depuis...
Une escalade de 9 mètres où la dernière équipe en date a délicatement posé la corde sur le palier, ce qui nous rappele:
FAITES ATTENTION, REGARDEZ DERRIÈRE VOUS L'ETAT DE L'EQUIPEMENT
Parfois ça ce termine bien, mais parfois on attend longtemps qu'une bonne âme nous délivre...
ET D'AUTANT PLUS DANS UNE TRAVERSÉE OÙ LES RAPPELS ONT ÉTÉ TIRÉ!
Une balade qui nous en promet d'autres...
La rivière est magnifique,
son parcours est long...
Souvent nous posons nos cordes,
parfois nous remontons...
De longues vires surplombent le vide,
Les mains-qui-courent au-dessus de longs plans d'eau
Ressauts d'entrée, puits de 48 mètres équipés...
Jolies salles décorées, le méandre avalée...
Le vestiaire tout trouvé et les ponto enfilées.
Traversée des ANCIENS.
Samedi 20 octobre, sortie initialement prévue aux Windgallen annulée...
Changement de direction...
6 heures du mat, 6 heures de route...
Direction Vercors sud...
Grotte de Brudour rapidement trouvée, premier puits équipé...
Beau temps, entrée des Anciens sans détour dénichée...
Gérald, Florian, Olivier, à 13 heures se sont engouffrés.
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La fin de semaine n'a pas été plus clémente, mais le temps ne nous a pas empêché de réaliser de biens belles découvertes.
Des prolongements dans la Méga-perte
La topographie de la Méga-trémie
Une nouvelle cavité, le gouffre Adam
Des prolongements dans le gouffre des linottes
et bien plus en suivant les liens ci-dessous
Malheureusement, le mauvais temps a retardé notre approvisionnement de 2 jours.
C'est en short et tee shirt que nous nous sommes occupés, entre autre chose par la déviation de la rivière se jettant dans la Méga-perte.
Du 25 août au 2 septembre, camp d'exploration sur le massif des Windgallen.
avec 19 spéléos!
Comme tous les ans depuis quelques temps maintenant, nous nous sommes donnés rendez-vous sur ce si emblématique massif pour la dernière semaine de vacances scolaire.
Nous avons opté cette année pour l'héliportage, prenant un peu plus soin de notre santé!
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Dehors, c'est une véritable petite tempête qui sévit!
Nous ne nous attardons pas et retournons gagner nos pénates.
Bientôt rejoint par le reste de l'équipe, nous nous dirigeons d'abord vers la salle des Suisses,
puis descendons vers la rivière.
Deux puits plus en aval, nous voici les pieds dans l'eau après avoir croisé l'ensemble des autres équipes.
Le 14 octobre 2012, balade dans le gouffre de la Baume des crètes.
avec Laurent, David M, David E, Valentin, Jean-Pierre et Olivier
Nous sommes 6 au départ de l'Alsace. Direction Besançon puis Deservilliers pour rejoindre l'entrée du Gouffre. Il y a déjà deux équipes devant nous, chacune équipant une voie différente.
Ce va être plus difficile pour Valentin, qui devrait équiper, dans le but d'améliorer sa technique...
Nous arrivons rapidement à la salle du réveillon.
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Les obstacles semblaient parfois plus difficiles à franchir vus du haut, mais l'équipement bien positionné,
permet toujours de descendre sans aucune difficulté, et c'est tant mieux!
Après une partie sans grand intérêt, d'environ 200 mètres de long et entrecoupée de différentes nages et d'un rappel, nous arrivons à la dernière section, très sympa!
Rappel, puis sauts dans d'immenses marmites...
Une très belle ouverture!
Dès le départ, les sauts s'enchaînent. Les réceptions sont immenses.
La roche est impétueusement sculptée, usée par des siècles de travail de sape...
L'eau n'est pas d'une qualité irréprochable, certe, mais l'encaissement, et la beauté du site classent ce canyon dans le haut du tableau.
Le 7 avril 2012, PIOTTINO
avec les irréductibles Expobornés, Timo et Olivier
Difficile de trouver ou de motiver d'autres fadas lorsque le temps est à la grisaille, à la pluie, voir à la neige...
Réveil matin, 6 heures, tartines, miel, café, un pique-nique dans le sac...
L'autoroute, la frontière, Lucerne, le Gothard... Piottino!
Promenade en solitaire et en contemplation du parcours envisagé...
Café à l'hotel, téléphone au barrage, combinaison enfilée...
C'est parti!
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Puis, nous nous sommes fait une fausse joie en pensant que un de nos futurs projets était deja ouvert.. Pour ce chantier la question est : est il raisonnable pour être discret de travailler avec une pelle mécanique ou bien à l'ancienne avec pelles et pioches ?
Puis nous sommes remontés sur l'Alsace pour poser le 2 ème des 3 fûts à la mine Pierre Jean et aménager les différents passages au gabarit nounours ! nous avons travaillé un peu au fond pour se rendre compte que nous étions sous un puits de dépilage et donc plus on gratte plus ça descend ! On a donc choisi de laisser tomber et de venir faire la topo un jour prochain (Olivier est motivé, je l'accompagnerais)
et pour bien finir la journée nous sommes aller faire une mine un peu aquatique, la mine du chateau, pour voir la vie en bleu fluorine. Pour bien finir la journée, nous sommes allés croquer un morceau sur Villé.
D'un côté et de l'autre de l'ancienne frontière
Jp, les kern au complet, Roger, Charles
Le 6 avril 2012
Nous avions le projet d'aller à la mine Pierre jean pour poser le second fût en attendant de poser le 3 ème et le dernier ! Mais nous avons commencer la journée par aller faire un tour côté Vosgien pour montrer aux Kern un puits d'aérage qui c'est ouvert au milieu de la forêt et qui finit dans l'eau. Nous avons un peu travailler sur le secteur.
Tout n'a pas fini trop tard, tout a bien roulé, Mouloud dans la civière n'a pas fait de plongée, ni en traversant le lac sur "un bateau" ni en tyrolienne au-dessus du lac, malgré la bonne volonté de certains de lui faire prendre un bain ! On a fini par ranger le matériel puis on est rentré tranquillement en Alsace avec Adam.
Cette journée était une bonne journée, malgré deux points négatifs. Ça manque de soleil le midi pour faire sécher un peu les néo et réchauffer les hommes dedans :) et l'eau du bassin est d'autant plus fraIche après le repas, surtout quand on s'est bien refroidi au cours de la pause repas.
CE SSF25 à la Sarrazine
La formation chef d'équipe du SSF 25 était là pour permettre de travailler un peu toutes les méthodes que l'on ne voit souvent que sur le papier (passage de noeud dans un balancier, un palan etc..).
Tout a commencé par un apéro suivi d'un repas, puis nous avons profité de la soirée pour voir la théorie et la présentation du nouveau STEPH (pour les connaisseurs). ensuite nous avons refait le monde autour de quelques bouteilles à une heure bien avancée de la nuit.
le lendemain matin, nous attaquons tôt. Chaque équipe est constituée, et nos ordres de mission distribués. Nous préparons notre matériel en fonction de nos objectifs. Puis nous prenons place dans la zone d'entrée de la grotte Sarrazine pour voir le côté technique de la chose et brasser un peu cette même technique.
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Nous sommes remontés aussi vite que nous étions descendus car nous étions attendus pour l'apéro au gite à Nans-sous-saint-Anne.
A 19h, nous étions de nouveau dans la voiture.
Nous nous baladons dans ce trou qui est ma fois plutôt joli. On fait du tourisme, on prend quelques photos, on compte les chauves souris, les grandes les petites.. celle là elle est bizarre !! d'ailleurs nous n'avions pas assez de nos 2 paires de mains pour toutes les compter.
Nous arrivons sur place vers 16h et sommes prêts pour faire de la spéléo seulement à 17h. Adam équipe.
Gouffre de Vaux et grotte de la Sarrazine
Samedi 31 mars.
Adam et moi-même partons tranquillement de la plaine d'Alsace et son temps grisonnant pour le grand soleil du plateau du Doubs.
notre choix se porte sur le gouffre de vaux entre Nans-sous-saint-Anne et Géraise.
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Le lendemain, c'est donc à trois, Timo, Dom et moi-même, que nous poursuivons notre descente.
Les cascades se suivent, les difficultés s'enchaînent!
Le rocher est glissant plus qu'à souhait, et le débit pose quelques difficultés...
Mais les perfos tournent, les relais apparaissant subitement, et les canyonistes louvoient...
En tout, c'est par une vingtaine de rappels que nous atteignons le bout de ce voyage printanier, toujours sous le soleil, certes un peu caché par les hautes falaises.
Et c'est une nouvelle ouverture qui agrémentera notre expérience.
Il n'est pas très tard, mais il semble plus prudent de stopper là notre avancée dans cette gorge.
L'échappatoire n'est pas réellement évident mais il reste possible, ce qui d'après notre repérage, ne devrait plus être le cas avant un bon bout de temps.
Et puis Flo semble un peu fatigué...
Le ciel est bleu, la neige fond... nous avons décliné l'offre d'un canyon du canton d'Uri, et vers 11h30, nous commençons l'équipement de ce petit canyon du Tessin...
En fait de petit canyon, il n'en est rien! L'encaissement est très prononcé, les cascades s'enchaînent, et les eaux furieuses de ce ruisseau de montagne n'aident pas la progression.
Quelques descentes et heures plus en aval, nous terminons notre descente au bas d'une chute de 65 mètres, près du fracas impressionnant de cette cascade.
Ouverture canyon de Croarescio
Samedi 24 et dimanche 25 mars 2012, la tribu s'est dirigée vers le Tessin suisse, pour procéder à la découverte des profondeurs du canyon de Croarescio. Nous étions nombreux à avoir fait le déplacement: Flo, Gérald, Timo, David, Gaëtan, Claude, Dom et Olivier
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Travail à Lanans
Dimanche le 11 mars nous nous sommes retrouvés du coté de Lanans avec Mouloud et Pierrot du GSD, du GSBR il y avait Adam, Martin, Christine, Emilie et moi-même (Charles).
Nous avons commencé par faire 3 équipes, une pour la Faille, une autre à la diaclase du Beuillet et une en surface !
Martin, Adam et Mouloud sont allés travailler dans la diaclase du Beuillet pendant que Pierrot et moi-même sommes allés dans la Faille buriner un peu le travail préparé par Mouloud et Rom1 le vendredi. Au niveau de la Faille, il y a un ou deux blocs qui se sont mis de travers et bloquent le passage, on s’ en occupera la prochaine fois à l’aide d’un gros burineur (GSD ou Olivier). Sinon nous avons bien travaillé mais il nous manquait une chose importante, la ligne, alors que nous avions la commande! On apprendra en fin de journée qu’une ligne était cachée en surface. Du coup nous sommes remontés pour prendre l’apéro et manger un morceau.
Puis nous avons décidé d’aller voir nos camarades au Beuillet, pour leur apporter la commande et finaliser leur travail ; sur le trajet nous avons croisé des luxembourgeoises et nous leur avons proposé de descendre avec nous dans la diaclase. Juste le temps pour nous de prendre l’eau dans le laminoir et le ramping de la diaclase pour croiser l’autre équipe sur le chemin du retour. On pretexte qu’on à ramené des femmes pour justifier notre venue..
On remonte sans soucis, une fois que Martin ait du se faire assister pour mettre sont baudrier...
Une fois dehors, Mouloud et Adam trouvent un peu vielle à leur goût nos luxembourgeoises de 25 ans!
On a fini par tous remonter à la Faille pour se mettre au sec, et finaliser le travail. Et pour terminer, on a manger à nouveau et bu un petit verre! Puis nous avons pris le chemin du retour en passant par la fromagerie à Provenchère
Rendez-vous au moi d’Avril pour une bonne journée dans le coin de Lanans !
Et pour finir la journée...
La journée étant vouée à la prospection, nous poursuivons nos reconnaissances pour tomber sur ça:
Là encore, le bruit de chute de glaçon n'a pas permis d'y entrer, et nous avons préféré poursuivre notre balade.
Garés aux abords d'une petite route de montagne, nous avons contemplé ce qui sera notre prochain objectif.
Pour ne rien changer, les vagues blanches et figées menacent quiconque s'y aventurerait en cette journée, mais c'est le coeur gonflé à bloc
que nous quittons ce sésame bien attirant!
Le 26 février 2012, Timo, Valentin, Dom et Olivier
Nous nous sommes rendus dans le canton d'Uri, en Suisse, pour réaliser l'équipement d'un canyon repéré quelques semaines auparavant.
Malheureusement, cet essai a échoué devant des tonnes de glace menaçante au-dessus de nos têtes, sous une douce et humide météo.
Nous avons donc opté à l'unanimité pour une journée de repérage pour les futures explos.
Timo nous a emmené devant une première série de beaux biefs, à l'eau émeraude.
